photo Léopoldine HH à l'Université

Léopoldine HH à l'Université

Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 04/10/2021

04, 05 et 07 oct | 18h-20h | discussions | campus Esplanade mer 06 oct | 18h-21h | table-ronde | campus Esplanade Programme complet : culture.unistra.fr et sur les réseaux sociaux du suac @suacunistra Entrée libre sur présentation du pass sanitaire   L'artiste interprète Léopoldine HH est invitée par 4 étudiantes en arts du spectacle à débattre sur la place de la femme dans le milieu de la musique. À elles 5, elles vont inviter des participants et participantes à débattre sur les inégalités dans l’industrie musicale, la musique comme vecteur de messages, l’écriture et la composition ; carte blanche à Léopoldine HH à chaque fin de rencontre. Le fruit de son travail d’écriture après une semaine de résidence, et de ses rencontres à l'université, s'achèvera à la mi-novembre autour d'une restitution au Théâtre du Tambourin.   Résidence proposée par Jeanne Arnold, Barbara Boisier, Camille Dutter et Marie Larret, étudiantes en master APAM. En partenariat avec le Suac, le Crous de Strasbourg, le SVU, la Maison Théâtre et l’association HF Île-De-France

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Léopoldine HH à l'Université

Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 05/10/2021

04, 05 et 07 oct | 18h-20h | discussions | campus Esplanade mer 06 oct | 18h-21h | table-ronde | campus Esplanade Programme complet : culture.unistra.fr et sur les réseaux sociaux du suac @suacunistra Entrée libre sur présentation du pass sanitaire   L'artiste interprète Léopoldine HH est invitée par 4 étudiantes en arts du spectacle à débattre sur la place de la femme dans le milieu de la musique. À elles 5, elles vont inviter des participants et participantes à débattre sur les inégalités dans l’industrie musicale, la musique comme vecteur de messages, l’écriture et la composition ; carte blanche à Léopoldine HH à chaque fin de rencontre. Le fruit de son travail d’écriture après une semaine de résidence, et de ses rencontres à l'université, s'achèvera à la mi-novembre autour d'une restitution au Théâtre du Tambourin.   Résidence proposée par Jeanne Arnold, Barbara Boisier, Camille Dutter et Marie Larret, étudiantes en master APAM. En partenariat avec le Suac, le Crous de Strasbourg, le SVU, la Maison Théâtre et l’association HF Île-De-France

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Léopoldine HH à l'Université

Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 07/10/2021

04, 05 et 07 oct | 18h-20h | discussions | campus Esplanade mer 06 oct | 18h-21h | table-ronde | campus Esplanade Programme complet : culture.unistra.fr et sur les réseaux sociaux du suac @suacunistra Entrée libre sur présentation du pass sanitaire   L'artiste interprète Léopoldine HH est invitée par 4 étudiantes en arts du spectacle à débattre sur la place de la femme dans le milieu de la musique. À elles 5, elles vont inviter des participants et participantes à débattre sur les inégalités dans l’industrie musicale, la musique comme vecteur de messages, l’écriture et la composition ; carte blanche à Léopoldine HH à chaque fin de rencontre. Le fruit de son travail d’écriture après une semaine de résidence, et de ses rencontres à l'université, s'achèvera à la mi-novembre autour d'une restitution au Théâtre du Tambourin.   Résidence proposée par Jeanne Arnold, Barbara Boisier, Camille Dutter et Marie Larret, étudiantes en master APAM. En partenariat avec le Suac, le Crous de Strasbourg, le SVU, la Maison Théâtre et l’association HF Île-De-France

photo ICI ET LÀ

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Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 19/03/2022

Présenté par le TJP CDN de Strasbourg Grand-Est dans le cadre du Festival Les Giboulées Petite forme de théâtre d’objets, Ici et là est un poème sans mots avec des ustensiles ménagers et quelques formes géométriques et sonores. L’histoire sans histoire d’une maison qui traverse les quatre saisons grâce à son étrange habitante, dénuée d’habitudes mais en tous points organisée. Armée d’un livre savant, cette drôle de femme, tantôt divinité inuite, druide, caryatide antique ou fée des bois, donne corps à la nature. Quant à cet arbre qui pousse au milieu du salon à chaque nouvelle saison, il emprunte des objets incongrus, vidant lentement l’intérieur tout en permettant d’inventer de nouveaux horizons. Dans ce conte dessiné, les images projetées se déploient sur une grande feuille blanche quadrillée d’écrans mobiles détachés de la maison, accueillant des paysages flamboyants. Ce laboratoire de sons, d’images et de sens forme l’espace onirique d’une promenade insolite dans nos sensations.

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